Jean-Marie voulait promouvoir la nature et l’écologie : l’étalement urbain l’a rattrapé et a bétonné la nature du bassin d’Arcachon qu’il aimait tant. Il a préféré partir.
Partir. Tout laisser derrière soi ou presque et aller de l’avant. Une décision radicale qui s’impose d’elle-même, ne nécessitant parfois ni chaos, ni conflit pour recommencer ailleurs et tenter de faire mieux.
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