Gilles Bertin, premier bassiste et chanteur du groupe bordelais Camera Silens, est un rescapé : de ces années destructrices dans le milieu punk où la drogue et le sida ont décimé une génération, mais aussi d’un braquage qui l’a contraint à vivre dans la clandestinité pendant 30 années. Alors que beaucoup le pensaient mort, il est réapparu en France, afin de « payer sa dette » en 2016. Condamné à 5 ans de prison avec sursis, il raconte « sa cavale » dans un ouvrage publié aux éditions Robert Laffont et revient sur ses années rock pour Revue Far Ouest.
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