Bordeaux ne méritait plus vraiment son surnom de « Belle endormie ». Jusqu’à ce que le confinement vide les rues, les bars de nuits et les marchés du matin. La frénésie a laissé place au silence. Marquons un interlude dans notre carnet de bord du Covid-19. Pendant que Rosa, Manon, Grégoire et les autres personnages de notre feuilleton continuent leurs combats quotidiens, visitons en images un Bordeaux méconnaissable.

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Bordeaux n’est plus que l’ombre d’elle-même. La frénésie de ses rues, de ses marchés, et de ses nuits a laissé place à un vide abyssal, à peine dérangé par le va-et-vient des forces de l’ordre. La flèche Saint-Michel semble orpheline, la place de la Bourse n’a pas été aussi peu photographiée depuis le début du XXIe siècle, la Rocade aussi fluide.
Pourtant, ce choc visuel n’est pas le plus déroutant : le silence qui règne dans les rues de la ville est à couper le souffle. Pendant que Rosa, Manon, Grégoire et les autres personnages de notre feuilleton continuent leurs combats quotidiens, Revue Far Ouest vous emmène dans une visite inédite, celle d’une ville millénaire dont le pouls s’est soudain arrêté de battre.






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