« Dans les pays du vieux monde viticole, l’appellation passe avant le cépage. » Alors qu’il existe près de 1000 cépages identifiés dans le monde entier, seule une vingtaine couvre la quasi-totalité du vignoble. Inaki Garcia de Cortazar-Atauri, spécialiste de l’agroclimatologie, revient sur le manque de diversité dans le cépage, qui permettrait pourtant de sauver des vignes face au réchauffement climatique. Quel est donc l’impact de ce dernier sur la viticulture ?
Cet article est réservé aux abonnés. Déjà abonné ? Se connecter
Soutenez Revue Far Ouest !
Nous avons besoin de 1 000 nouvelles souscriptions pour continuer à exister.
Découvrir nos offres d’abonnement