Annabelle a tué et mangé une poule qu’elle a elle-même élevé. Jamais elle n’a été aussi proche de la mort et de son propre instinct de prédation. Elle a eu envie de rencontrer les autres professions de la mort animale.
Cet article est réservé aux abonnés. Déjà abonné ? Se connecter
Soutenez Revue Far Ouest !
Nous avons besoin de 1 000 nouvelles souscriptions pour continuer à exister.
Découvrir nos offres d’abonnement