Depuis le début, les 131 salariés de Darbo accusent Sonae et Gramax d’avoir mis au point une véritable arnaque. Après avoir récupéré l’argent de la Région et du Département, les investisseurs auraient délibérément coulé l’usine. Les ex-salariés luttent bec et ongles aux côtés de leur avocat, Maître Rilov, pour faire éclater au grand jour ce dont ils sont intimement persuadés. Sonae et Gramax n’ont guère l’intention de coopérer…
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