Darbo était la plus ancienne usine de transformation de bois des Landes. Le travail des 131 salariés était ingrat, dangereux, mais c’était leur travail. Deux ex-salariés, Vincent et Manolo nous font visiter leur usine abandonnée de tous, et surtout du fond d’investissement qui avait promis des financements. Ils ne l’ont jamais fait. Pourquoi ? « Parce qu’ils ont voulu notre mort. «
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Bonnes vacances au chômage
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Darbo en péril
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Mardi 20 novembre 2018
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Une intime conviction
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